Rue Saint Sidoine

Situation

• La rue Saint Sidoine commence rue Baraban, presque face à la patinoire et se dirige vers l’est. Comme le précise la plaque indicatrice, en la parcourant sur 180 mètres, on arrive rue du 14 juillet sur le territoire de la commune de Villeurbanne au niveau de la rue Pionchon.

• En poursuivant encore une centaine de mètres, on arrive rue du Docteur Dolard, presque face à l’institut d’art contemporain, jadis appelé nouveau musée, antérieurement FRAC et dans des temps plus reculés ELAC quand il se trouvait à Perrache.

Architecture

• Elle commence entre deux flancs d’immeubles, celui du 4 qui est aussi 55 rue Baraban est une grande barre de bureaux, elle est suivie coté sud par un large parking puis par une très longue barre dont la monotonie est cassée car elle est placée sur plusieurs plans et colorée de bandes verticales de différents bruns.

• Coté nord, ce sont de petits immeubles de la fin du 20^e siècle, quatre à six étages, avec des balcons de différentes formes, le dernier a un plan légèrement en biais, il est couvert de petits carreaux gris et placé derrière un bosquet.

• Au 5, à l’angle de la rue du Milieu, une maison plus ancienne à un étage couverte de vigne vierge vient en avant d’une dizaine de mètres sur l’alignement, elle est accolée à un atelier.

Dédicace

• Caius Sollius Modestus Apollinaris Sidonius est né à Lyon vers 431, il est mort à Clermont Ferrand vers 486.

• Après avoir fait une grande carrière auprès des empereurs romains pour qui il a prononcé plusieurs panégyriques, il s’est retiré comme évêque de Clermont où sa générosité l’a fait reconnaître comme Saint Sidoine. Lettré, il est l’une des seules personnes de son époque à avoir laissé des écrits.

• Il est honoré dans le neuvième par la rue Sidoine Apollinaire.

Histoire

• La rue Saint Sidoine a été ouverte vers le début du 20^e siècle, seule une maison reste de cette époque, tout le reste à été reconstruit vers la fin du même siècle.

Commerces et services

• Il y a une dizaine de sociétés au 4.

Juillet 2008 et décembre 2016

Institut d'art contemporain