Rue Camille
Situation
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La rue Camille débute route de Genas, à coté du 128, à la limite de Villeurbanne. Elle se termine en croisant la rue Bonnaud au-delà de laquelle elle est prolongée par la rue de Musset.
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Les voitures circulent vers le nord à partir de la rue de la Balme, la dernière partie est réservée aux piétons.
Architecture
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La première partie est courte, elle est constituée coté est par un immeuble de cinq et six étages aux fenêtres carrées ouvert par deux belles portes derrière leurs vitres. Celle de l’angle sur la route de Genas est placée en travers. Il fait face à quatre bâtiments plus anciens et plus simples.
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Elle fait un léger coude au niveau de la place Antoinette, en croisant le cours Richard Vitton.
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Ensuite, c’est une ligne droite, d’abord entre de petits immeubles de la fin du 20e siècle et un petit entrepôt AT avec un blason original au lion.
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Après la rue Julien, une petite usine fait l’angle au 15, puis la rue passe entre deux alignements de maisons simples de un à deux étages. Quelques jardins sont placés entre elles. On peut remarquer une belle porte au 18.
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Du 24 au 26, une petite barre est construite en retrait de son parking, au 28, c’est un immeuble blanc de trois étages qui est en construction sur une parcelle profonde.
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Deux immeubles du style de 1900 entourent le cours du docteur Long coté sud, les maisons individuelles reprennent ensuite, elles sont moins serrées, avec plus de jardins dont deux grands avant la rue Buisson. Deux maisons neuves se font face au 40 et 43bis.
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Un immeuble de six étages à deux ailes occupe le coté est avant la rue de la Balme, en face, la villa Camille a une jolie arche taillée dans sa haie.
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La rue se termine par un raidillon entre quatre maisons et leurs jardins. En haut de quelques marches d’escalier, un petit perron invite à s’accouder devant le point de vue ouvert par la petite déclivité.
Dédicace
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Le couple Richard Vitton a donné le nom de leur cinquième fils à cette rue après avoir donné le terrain à la municipalité.
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Camille Richard Vitton a vécu de 1845 à 1899.
- L'inspecteur de police André Camille s'est illustré dans la résistance jusqu'à son assassinat le premier juin 1944. Une plaque conserve sa mémoire 8 rue Diderot.
Histoire
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Le quartier a été urbanisé a partir de 1858 quand le domaine Richard Vitton été mis en lotissement. Une petite partie nord a été ouverte à cette période, la partie sud a attendu la vente de la seconde partie de la propriété en 1920.
Commerces et services
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On y trouve deux sociétés, un coiffeur et un électricien.
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Une entreprise de matériel médical, deux dentistes, une pharmacie et un podologue.
Septembre 2008 et mars 2017
Dernière mise à jour :
Auteur : Franck